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Vas-tu survivre ? (Inspirée de la fantastique trilogie de Suzanne Collins)
 
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 Contexte d'Hunger Games

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Nasuada Ground
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Nasuada Ground


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Contexte d'Hunger Games Empty
MessageSujet: Contexte d'Hunger Games   Contexte d'Hunger Games EmptySam 8 Fév - 23:20



Le soir ou j'ai compris...





J
our après jour, année après années, j'éxécute la même pitoyable routine. J'obéis aux caprices de mes parents tout en imposant mes règles à quiconque voudra l'entendre. Disons que cela ne me déplais pas. Tout le monde fuient mon regard, ils me vénèrent. Mais je sais qu'au fond, je leur fais peur. Encore une fois, je ferme boutique et j'ajourne la vente de bijoux. Je tourne la pancarte cristalline en prenant soin de ne pas l'abimer. Je ne sais quel reproche ils me lanceraient. Exténuée, je roule misérablement les yeux, me ressassant les vieux souvenirs que j'aimerais bien abandonner aux oubliettes. Je sors en trombe de la bijouterie par la porte arrière, tout en faisant attention à faire du bruit pour annoncer ma sortie au villageois. La cours enchanteresse qui borde la boutique m'accueil de ses froufroutements exécrables. Laminant les plates-bandes de fleurs aux milles-couleurs, j'ouvre la portière dans un grincement sourd. Sans prendre la peine de la refermer, je cours dans la rue avec véhémence. Quelque peu essoufflé, je ralentis le rythme en contemplant mes pieds qui foule les dalles de pierres. Au loin, j'aperçois déjà la cime de mon chez-moi, qu'on appelle aussi communément ''forteresse''. Effectivement, elle est d'une splendeur incomparable. La fortune de mes parents quinteux font de moi une princesse au cœur dur comme de la pierre. Secouant la tête en pensant à ma triste vie, je poursuis mon chemin. J'atteins enfin le ponton qui mène jusqu'à la porte de bois poli. Mais pour une fois, j'hésite. J'hésite à frapper. Pourtant c'est si simple, je n'ai qu'à donner trois petits coups, mais quelque chose m'arrête. Ça y est, j'ai trouvé. Ce n'est pas chez moi. Enfin, si, si on le vois de cette manière. Mais mentalement, ce n'est pas un endroit pour moi, et je l'ai toujours su. Même le succulent goûter qui m'attends à l'intérieur ne me retiens plus. À pas ferme, je fais volte-face et je cours vers la forêt, positionnée à côté de mon ténébreux palais. M'éraflant contre des racines, trébuchant contres des rochers, je m'engouffre avec lenteur dans les abymes de la forêt sombre. Je scrute les alentours, éclairant le sol à l'aide de l'encombrante torche volée à l'entrée du palais, puis je vois un buisson. Je m'y laisse tomber avec lourdeur, profitant d'un moment de repos. Je ferme les yeux, puis je me laisse envoler vers les mirages. Quelques chose me sort de mon sommeil. Un rien, un bruissement. Des pas hésitants et un murmures tordu. Je me lèves à pas de loup et je suis le bruit. Celui-ci me mène à un de mes vieux amis. Il parle, il discute avec quelqu'un. Alors, je t'ai tout dit. Soit prudent, rien n'est sûre avec elle. dit-t-il d'une voix étouffé par la peur. Mes yeux s'enflamment tel de la braise, et je sens mon corps qui me cri de disparaître sous terre. Tu lui as dit ! crachais-je vaniteusement. Pardon ne te seras pas accordé, cette fois. C'est à partir de ce moment que j'ai compris que j'étais une assassine sauvage et indépendante. J'ai compris que les gens ne vivaient que pour plaisanteries mensongères. J'ai compris que j'étais cupide et que rien ne pourrais jamais me calmer. Je sais qu'il me parle et qu'il essaye de me raisonner, mais je fais la sourde-oreille. Je le fixe de mes yeux brûlants, puis soudainement, je me radoucit. Je plonge un regard faussement peiné dans le sien, lui faisant signe d'approcher d'un mouvement d'index. Il me croit, il s'enroule dans mon piège. Celui qui était jadis mon amant m'obéis, et il avance avec espoirs. Je t'aime , et ce pour toujours je lui chuchote sensuellement à l'oreille. Avec rage, je lui lance ma torche sur le corps, puis je prends plaisir à l'entendre crier de douleur. Je fixe son corps enflammé d'un œil vidé d'émotions, puis je le regarde cramoisir. Je m'accroupis pour davantage d'effet. Tu ne me causeras plus jamais de problèmes, mon chou dis-je sournoisement. À partir de ce jour, je fus fugitive. Et c'est en ce soir que je crée Hunger Games.

Crédit: Neko-chan in Never Utopia
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